Suite...

On va commencer par tailler les tasseaux à la longueur permettant de se positionner correctement sous l'auge à maçon.

Amicalement.
Thierry.

Suite...

On perce avec la scie cloche et on fait une douzaine de trous avec le foret de 2 mm pour passer les futurs fils qui serviront à maintenir les arbres en position.

On peut "fabriquer" avec un seul perçage environ 3 épaisseur d'auge à maçon.

Amicalement.
Thierry.

Suite...

On va fixer les tasseaux avec les vis à bois par l'intérieur de l'auge de la façon suivante :

Amicalement.
Thierry.

Suite...

Le résultat de la fixation des tasseaux et de la formation des trous.

Amicalement.
Thierry.

Suite et fin.

Positionner les grillages à l'aide des agraphes sur les trous de drainage en évitant de "bomber" la grille.

Il ne restera plus qu'à utiliser le fil de fer galvanisé lors du rempotage pour maintenir les arbres en place dans le pot.

bonne préparation pour le printemps. 

Amicalement.
Thierry.

Bonjour,

Merci pour les compliments  :oops: ...

Sinon, petit avantage oublié des auges sur les caisses polystyrène : La couleur noire permet de mieux réchauffer les racines après rempotage.

Pour le type d'arbre à mettre en auge, par exemple, un malus en pré-bonsaï, et un Buerger (Sacal  ) en pré-pré-bonsaï.

Mais la liste n'est pas exhaustive.

Amicalement.
Thierry.

2 ou 3 euros ca peut aller ,mais ce n'est pas le prix qu'elle a annonce

http://www.facebook.com/laurent.bonsai

Bonjour,
Je fais remonter ce post pour un retour d'expérience, et faire partager quelques astuces.

Contrairement à TomcatSoft, je ne fais pas de gros trous dans l'auge, mais beaucoup de petits ( 10 / 12 mm). Ainsi, je ne mets pas de grille et le drainage se fait sur toute la surface du pot.
Je perce plusieurs auges à la fois en les empilant les unes sur les autres.

Je me suis rendu compte d'un problème : les auges, par leur forme, ont tendance à retenir l'eau en bord de pot, au fond  : donc maintenant je perce également tout autour, sur le fond du pot, mais à l'extérieur de la nervure extérieure du pot.

Un autre constat : avec cette technique, on a tendance à laisser des bavures de plastique sur chaque trou. Et là encore, ça peut retenir un peu d'eau au fond du pot...
Alors voici une technique d'ébavurage, trouvée par hasard en fait : je n'ai pas de tamis, et je me sers des auges ainsi perçées pour tamiser la pouzzolane.
Ca tamise au diamètre voulu... et, comme l'akadama est abrasive, les bavures sautent !

Oui; c'est vrai si l'on ne fait qu'un pot.
Quand on a 20/30 trous par pot, et 5 à 10 pots, il y a quand même moyen d'avoir mal aux mains si on ébavure tous les trous avec un forêt plus gros...

Effectivement. D'après ce que j'en sais :
Ils permettent une bonne ramification racinaire. Ils sont intéressants également par leurs formes : un peu plus profonds que les auges à maçon, ils restent plutôt larges, et conviennent bien en pot intermédiaire pour des arbres de pépinière sortant de gros pots et dont on ne souhaite pas tailler les racines trop fortement ( conifères, ... ).  Un passage dans ces paniers avec le bon subsrat permet une bonne croissance, et prépare à un pot plus petit.

Je les teste également cette année sur des jeunes plants, pour voir...

Et toujours dans la série astuce pour ceux qui n'ont pas de tamis : les petites auges à maçon s'emboitent parfaitement dans certains de ces gros paniers. :idea:
J'utilise cette caractéristique pour tamiser en une seule passe : les gros grains restent dans l'auge à maçon, les petits dans le panier pour plantes aquatiques, et tout ce qui est trop fin passe au travers de ce panier.
Comme je fais ça dans la cuisine (appartement...  ), ça m'évite d'en mettre trop partout et ca fait gagner du temps... donc j'effraie moins ma femme quand je me lance dans la préparation des substrats, elle ne prend même plus la fuite !