[quote author=Michel Sacal
On ne demande pas à un lettré d'être élégant.
C'est tout le contraire...

matt a écrit:

Clem, il me parle beaucoup, ton virtuel.

Olivier a raison, on perd ainsi de la conicité. Le ten jin est alors peut-être une solution.

Une truelle, sans conicité oui mais avec un mouvement qui rappel un coup de pinceau et un feuillage dépoullié qui s'envolle comme l'esprit des lettrés.

edo a écrit:

De même, cime plate, petit ten jin, on a vraiment l'imrpession d'avoir un vieille arbre.
Je trouve aussi l'enracinement trop haut et les sols nus.. je pense que ca pourrait être améliorer avec des mousses AMA, c'est un détail mais soyons perfectionniste ;D.

Salut edo,
La la cime plate de la photo est certainement due à un accident, on constate d'ailleur la rupture nette de conicité à ce niveau; bien sûr que cela existe, mais ce n'est pas la nature propre du mélèze, c'est ce que je voulais dire. Ce n'est pas parceque ce cas particulier existe qu'il faut systématiquement le reproduire. Dans la nature c'est un arbre sur 100 ou plus , dans le bonsaï c'est pas loin de 1 sur 2 , ça devient un peu stéréotypé...AMHA (c'est pour ça que je dis plus bonsaï que mélèze )

Cela rejoint mon avis sur le ten jin, je trouve que c'est une solution de facilité dans le sens ou il est plus facile de construire ce genre de cime, en la justifiant par un accident (dont on apporte la preuve par le ten jin), que de construire la cime typique de l'espèce: il faut garder une conicité, une taille et un espacement décroissants des plateaux, et donner un mouvement interressant dans l'esprit du lettré. Plus difficile à faire qu'à dire !

le ten jin est à mon avis plus adapté lorsqu'on a un arbre qu'il faut absolument rabattre pour pouvoir l'exploiter.     

kimel a écrit:

Salut edo,
La la cime plate de la photo est certainement due à un accident, on constate d'ailleur la rupture nette de conicité à ce niveau; bien sûr que cela existe, mais ce n'est pas la nature propre du mélèze, c'est ce que je voulais dire. Ce n'est pas parceque ce cas particulier existe qu'il faut systématiquement le reproduire. Dans la nature c'est un arbre sur 100 ou plus , dans le bonsaï c'est pas loin de 1 sur 2 , ça devient un peu stéréotypé...AMHA (c'est pour ça que je dis plus bonsaï que mélèze )

Cela rejoint mon avis sur le ten jin, je trouve que c'est une solution de facilité dans le sens ou il est plus facile de construire ce genre de cime, en la justifiant par un accident (dont on apporte la preuve par le ten jin), que de construire la cime typique de l'espèce: il faut garder une conicité, une taille et un espacement décroissants des plateaux, et donner un mouvement interressant dans l'esprit du lettré. Plus difficile à faire qu'à dire !

le ten jin est à mon avis plus adapté lorsqu'on a un arbre qu'il faut absolument rabattre pour pouvoir l'exploiter.     

C'est curieux, plus je le regarde et plus je m'aperçois que si on lui coupe la tête l'arbre perd son âme. Il devient vide.

Toute sa personnalité réside dans cette cime que d'aucuns aimeraient décapiter.  ;D

je ne vois pas trop le sujet de la conversation???

cet arbre a superbe

je l'ai eu sous les yeux pendant 4 jours

et j'avoue que j'aimerai bien l'avoir a la maison
(mais cela n'engage que moi)

J'arrive après la bataille.

Pour une fois, je suis d'accord avec Jean-Pierre ( )
Si on raccourcit de trop la cime et qu'on fait un ten-jin, l'arbre perdra de son âme.

Ce n'est qu'un avis personnel.   

Amicalement,
Céline.

Edo,

je ne suis pas seulement convaincu par ton projet, j'en suis ému. Tu as réussi à faire que l'arbre donne une réponse cohérente à notre question, sans perdre son "âme" (merci JP!)