bonjour,
j étais tres solitaire quand j étais petit,je passais mon temps libre dans les bois et petit a petit je me suis rendu compte que je n y allai plus pour etre seul mais plus parce que j avais besoin de cette nature,de ces odeurs,de voir comment les plantes prenaient vie et la j ai commencé mes premiers prélèvements(sans autorisations..j avais 13 ans)ils sont tous mort au fur et a mesure que je les emmenais une fois chez ma mère,une fois chez mon père mais l amour de la nature était en moi.
des que j ai eu mon appart j ai tres vite été attiré par des plantes particulière bananier,plantes carnivores et je prenais mon pied a m en occuper.
puis j ai acheté ma maison et la j ai craqué sur un  bonsai de supermarché qui était minuscule a coté des bananiers et des autres fruitiers alors j en ai pris un autre ,puis un autre et je n ai plus jamais arreté
je trouvais facinant d avoir un arbre de quelques centimètres alors que dans la nature ils fesaient des dizaines de metres.je les cultivais a ma façon qui ne devait pas etre mauvaise car je n en ai jamais perdu un seul.apres j ai eu internet ou je suis tombé sur edg.....ou j ai appris beaucoup beaucoup de chose(surtout que mes bonsais étaient des rogatons lol) j ai mis plus de 2 ans je pense avant de mettre mon premier poste et ma passion pour le bonsai n a fait que grandir grace a ce forum et quand je travail un arbre mon fils de 3 ans est toujours a mes cotés pour me donner un coup de main(il a commencé ses premières plantations je crois qu il a attrapé mon virus).aujourd hui ce sont mes bananiers qui ont l air trop petit a coté de mes 60 rogatons:lol: j espère pouvoir venir une fois a une expo ou je pourrais voir certain d entre vous. vive le bonsai et tout les bonsaikas..

"C'est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n'écoute pas..." Victor Hugo

bonsoir , pour moi la pratique du bonsai est récente (2004), mais j'ai toujours aimé me retrouver dans la nature , la pèche , ramasser des champignons , la randonnée . un jour on m'a offert un bonsai pour mon anniversaire je l'ai poser sur une étagère en l'arrossant de temps en temps et ce qui devait arriver arriva l'arbre connu une mort rapide car je n'avais aucune connaissance quand a la culture de ces arbres en pot mais c'est a partir de cet échec que je me suis dis" j'y arriverais"!!! alors par un beau dimanche de printemps je me suis rendu chez GUY MAILLOT lors d'une semaine porte ouverte j'en suis revenu avec un orme de chine car sur ces conseils il m'avait dit que c'était le bon arbre pour débuter. ensuite je me suis beaucoup documenté (merci internet), la lecture m'a aussi bien aidée puis je me suis inscrit sur ce site( quel plaisir)j'ai découvert les substrats adaptés a mes arbres , la taille , la ligature , bref tout pour que je donne les meilleurs soins a mes arbres. aujourd'hui ma collection est modeste faute de place (20 arbres)mais c'est un grand bonheur de m'occuper d'eux au fil des ans et de les voir changer avec les saisons.

Un pigeon, c’est plus con qu’un dauphin, d’accord…mais ça vole!!!
Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, ceux de 60 kilos les écoutent

Bonjour,

j'ai toujours aimé les arbres, au début, je plantais des semis ramassé dans le jardin de mes parents (arbre grandeur nature)mais comme le jardin était trop petit, je n'ai pas su en mettre beaucoup.

beaucoup plus tard, je suis tombé sur un bonsai et cela a fait tilt, c'était la solution pour avoir beaucoup d'arbres dans un petit espace.

j'ai été à l'expo d'un club, le Bonsai club Carolorégien, je m'y suis inscrit, puis
poussé par le président j'ai fait le nouveau talent et j'ai participé au congrès de l'EBA à Trevarez en 2002, ce qui m'a ouvert le yeux sur une autre dimension et je suis presque reparti à zéro.

rien de japonisant dans ma démarche, juste l'amour des arbres

J-L

" Pour faire du bonsaï, il faut un arbre, un homme, une paire de ciseaux et beaucoup, beaucoup d'amour..." John Naka

bonsoir luc comment tu vas voir les choses avec ton nouveau maitre qui va remplacer maitre ANDO, tu as  de la chance de faire une école avec trois maitres différents, les methodes seront surement différentes, comment tu vas le ressentir.à+ MICHEL

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http://michel.bonsai.free.fr

Brunet a écrit:

Personellement, je suis tombé dans la marmite japonaise quand à l'âge de 10 ans, j'ai visionné les 7 samouraï de Kurosawa...

Tiens, c'est marrant, moi c'est RAN un autre fim de Kurosawa que je vois au ciné à sa sortie en 1985, j'avais à peine 15 ans.

Je découvre le Japon en 2001, lorsque professionnellement, je deviens directeur export de Boursin et que je suis amené à aller à Tokyo pas mal de fois pour essayer de développer les ventes du célèbre fromage auprès des nippons ... tout un challenge !

En 2005, j’achète avec un pote mon premier bonsaï à la foire internationale de Dijon, un ODC de 10 €, sur le stand du bonsaï ardéchois.
Ce pote, à qui je confie mon bonsaï l'été suivant me fait découvrir EDG car il est lui même ami avec Loulounette.
En 2006, Lusso me fait découvrir l’existence du club du Bonsaï Gaulois.
Depuis, la passion est croissante.

Retrouvez Le Bonsaï Gaulois - Bonsaï Club Côte d'Or sur [FB] Facebook:
http://www.facebook.com/pages/Le-Bonsa% … ef=tn_tnmn

Sympa ce fil!
pour ma part c'est en 1985 ,acheté des graines de deshojo qui n'ont jamais germé ,puis j'ai commencé mes premiers prélèvements d'oliviers dans la colline ,acheté le "remy samson " et puis john naka  et enfin découvert andré montagne et puis le boulot ,les déplacements à l'étranger on mets en sourdine ..j'ai gardé quelques sujets ,j'en ai perdu beaucoup ,j'ai réduit mais la passion est toujours là...

Merci pour se post; qui me permet de rendre  hommage au carmona orme et sagaretia de grande surface. Ils se sont sacrifiés pour faire naitre cette passion géniale en 1995, puis mon parrain envoyé au Japon pour le rapprochement Renault Nissan me raconta le Japon les Bonsais... Il fit la conaissance de Remy Sanson qui me fit parvenir toute la collection de Bonsai Creation.
Pendant mes études j'ai fait parti du Bonsai Club de Chatenoy le Royal, nous sommes en 2000 fin du première acte.

Ensuite je me marie, construis notre maison et fais des enfants, avec le travail par dessus il n'y a plus beaucoup de temps pour les arbres qui succombent de froid en hiver et de soif en été... un orme en réchappe et un chêne resté en pleine terre.

2006 la reprise, maison terminé, situation professionnelle stabilisé, je repars de zero, mais la première expérience m'a été profitable. Je comprend désormais l'exigence de cette pratique, je m'interdis les à peu près et la maturité aidant je commence à devenir patient. Je construis un serre pour l'hiver, réduisant considérablement les pertes d'arbres (zero l'hiver dernier). Je pose un réseau d'eau efficace.

Voilà c'est sans doute l'expérience qui nous mène sur la bonne voie, et que vive nos bonsais

Amicalement
Pierre

Petite histoire d'une grande passion...
J'ai débuté le bonsaï en même temps que j'ai commencé mes études de paysage, en 1994. Lors d'un atelier dans le marais poitevin, où nous sortions des jeunes plants pour refaire une plantation de haie sur le marais, un de mes camarades de classe, m'a dit :"C'est rigolo, celui que tu tiens, il a une tête de Bonsaï". Du haut de mes 16 ans, jamais je n'avais entendu parler de Bonsaï... J'ai gardé le petit truc, Alnus glutinosa, racines nues, mis sous le mobil home où nous logions le temps de l'atelier, ce plant a pris quelques gelés dans la tronche le temps de l'atelier (et nous aussi, pas chaud un mobil home en plein hiver...). Je l'ai planté dans un pierre calcaire assez plate, préalablement creusé et surtout aprés avoir dévorer les quelques revues de la bibliothèque du bahut. J'ai travaillé au coupe ongle grand format durant de longues années, prélever aussi pas mal, et puis études continuant j'ai laissé mes parents arroser ( une fois par semaine ! ) je vous dit pas ce que j'ai retrouvé en arrivant...
A la fin de mes études , 2000, j'ai embauché en tant que formateur en milieu carcéral dans une prison où nous avions aussi une pépi. Et emménagé, en tant que locataire, dans une maison perdu dans la campagne sud Charentaise Maritime, 6 ha de terrain!
J'ai découvert France Bonsaï, on m'a offert quelques outils (le minimun, exit le coupe ongle)et j'ai repris les prélévements.

En 2010, marre de travailler seul, je suis passé dans les médias locaux (journaux et radio) pour voir si cela intéressé quelques personnes de se regrouper pour travailler : Je n'ai pas était embéter par les coups de téléphone...
En 2011, contacter des gens sympas, Jacques Marty en tête, qui est un "voisin", puis intégré le club de Bordeaux et depuis je rencontre plein de gens qui ont la même passion que moi... Même si des fois nous ne sommes pas toujours d'accord... Et je préléve toujours !

http://kalima-ich.e-monsite.com/