Énorme merci.

Ya des heures d’écriture et de mise en page vraiment merci

" Les puissants supposés qui s'adressaient à des imbéciles supposés sont en voie d'extinction. Une nouvelle démocratie du savoir est en marche. Désormais, la seule autorité qui peut s'imposer est fondée sur la compétence. " Michel Serres

Génial
Merci Clem

Le bonsaï, un rapport à la nature et au temps, au fil des saisons, et beaucoup de passion..

Je me suis une fois de plus régalé.
Super travail Clem, très bien fait et très didactique.
Énorme Merci

fabizen a écrit:

Sur les palmas, je procède comme Ryan, sans taille ou éclaircissement, impossible d'éclairer les parties basses ou centrales, et risque important de perdre des branches

Tu as appris qcq chose de ce résumé Fab' ? (toi qui est très connaisseur du palmatum)
perso je pensais jusqu'ici qu'il fallait couper tous les folioles sauf le foliole central de toutes les grandes feuilles pour equilibrer un palmatum.. On voit ici que Ryan coupe une feuille sur 2 et laisse les paires de feuilles faibles, ce qui est beaucoup plus pratique que de s'emm** à couper les folioles lol.
Je trouve aussi très intéressantes ses remarques sur la fertilisation en lien avec le type de défoliation et l'histoire de laisser ensuite l'arbre partiellement défolié à l'abri du soleil direct. j'aurais sans doute mis du soleil direct perso vu que j'en rate pas une

Oui bien sûr
Perso je défolie mes arbres à partir du haut car je sais que je peux réduire ces parties directement
Puis je descends pour tout laisser sur les branches faibles et les branches basses
Ryan fait l’inverse en prenant le bas pour modèle
De toutes façons il faut d’abord regarder l’arbre dans son ensemble pour localiser les parties faibles avant d’attaquer sinon on se lance et dans le feu de l’action on peut défolier des branches faibles.. ce n’est pas le but

Le bonsaï, un rapport à la nature et au temps, au fil des saisons, et beaucoup de passion..

UN GRAND MERCI A TOI!!!! J'étais en manque moi!!

« Le monde ne mourra jamais par manque de merveilles, mais uniquement par manque d’émerveillement ».
Gilbert Keith Chesterton