Une belle mémère !!

Le bonsaï, un rapport à la nature et au temps, au fil des saisons, et beaucoup de passion..

superbe azalée

Merci pour vos commentaires, Alain, je pense que pour les azalées, il faut une culture irréprochable avec un suivi très rigoureux au niveau de l'arrosage ( à l'eau de pluie! ) et la fertilisation qui doit être copieuse. Le rempotage le point crucial, il doit être drastique en enlevant bien les racines qui ressemblent à du coton afin que l'eau puisse parfaitement pénétrer la motte racinaire qui est très dense jusqu'au cœur.

allez une dernière photo de l'osakazuki couverte de fleurs:

Lu dans un livre spécial pin noir. Il faut effectuer le mekiri sur les pousses faibles dans un premier temps, puis 3 semaines après sur les fortes.
Je teste cette année.

+1 Bleubonz27 , on ne peut pas toujours appliquer ce que l'on peut lire dans les livres, notamment Japonais, même si les techniques sont les bonnes, elles ne sont pas toujours transposables sous nos climats et sur nos arbres souvent bien loin du niveau d'avancement des leurs.
A+

tu leur a fais une bonne taille de formation

pour la cascade ,je supprimerai la première branche ,trop en arrière pour moi et je referais un tête avec les deuxièmes que j'ai entouré
!!!!

magnifique!

Bonsoir,

jerem a écrit:

(...) je ne compte pas raccourcir le tronc pour donner l'impression d'une cascade de fleur "interminable" avec une conicité très progressive. De plus le tronc doit s'épaissir et il n'y aura aucun problème pour que les plateaux prennent du volume, Les azalées sont très généreuses. D'ailleurs tu devrais essayer les azalées, elles sont très gratifiantes et pas plus compliquées que les érables

J'avoue avoir lu les messages un peu rapidement, et étant déficient visuel, j'ai cru que c'était un conifère (je base une bonne part de ma vision sur les couleurs et les formes générales).

Pour ce qui est de la culture des azalées, non, c'est beaucoup plus compliqué que les érables. Je pourrais poster des archives de magnifiques spécimens de mes amis d'alors, morts. Ici, ce n'est pas le pays des azalées

Je ne vais pas chercher des heures dans mes archives, mais des copains avaient des azalées magnifiques, beaucoup plus d'expérience que moi, et pouf ! l'année suivante elle était morte.

Non, j'ai abandonné les espèces qui ne se portent pas bien toutes seules ici.

Question de bon sens, d'autres peuvent conduire des espèces vers la beauté, si chez moi, chez nous, elles dépérissent malgré la chimie et les lumières artificielles, alors non.

Mal nommer les choses ajoute à la misère du monde
https://www.facebook.com/alain.krizic.1

Ici l'eau est très calcaire, et même ceux qui ont des récupérateurs d'eau sont souvent obligés d'arroser avec l'eau du robinet. Je ne sais pas si c'est la cause principale, mais à mon avis ça doit être un facteur important.

Pour ce qui est de mon expérience personnelle, c'est comme les conifères : je n'y connais pas grand-chose, ou pas suffisamment en tout cas.

Néanmoins, j'ai une azalée, et sa soeur : trois boutures dans un petit pot, offert pour la fête des mères. J'avais récupéré le tout (deux survivantes) en fin d'été.

La première est rempotée tous les deux ans, mais dans un pot de 30 cm de haut, avec un mélange assez acide. J'avais donné la deuxième à l'ami de ma mère qui habitait en Beauce, il l'avait planté à 90% d'ombre, mais elle a périclité et failli mourir. Je l'ai remise en pot, elle commence à se remettre, mais n'est quand même pas au mieux de sa forme.

On devine la première sur cette photo du 8 mai de cette année :



En tout cas, je te remercie de ta proposition amicale : j'essaie maintenant d'éviter les espèces qui sont mal adaptées à mon climat, et en fait je voudrais maintenant me défaire de la majeure partie de mes arbres à moyen terme et n'en garder que quelques-uns avec lesquels j'ai une histoire particulière. Si je change d'avis d'ici cet automne, je te proposerai quelques arbres en échange si ça t'intéresse.

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des arbres superbes, mais comme Alain je ne m'y risque plus j'en avais deux, un moyogi de variété indéterminée avec un nébari d'environ 10 cm acquis auprès d'un ami en Normandie et le deuxième osakasuki droit formel issue de chez un professionnel fermé depuis longtemps maintenant (le bonsaï ardéchois). En arrivant à Montpellier les deux se sont mis en mode survie en déclinant lentement durant 3 ans pour finir par mourir.
J'ai horreur de perdre des arbres j'ai un sentiment de culpabilité qui me hante pendant longtemps. Surtout quand je n'ai pas la moindre idée des erreurs commises: d'exposition, d'arrosage, de fertilisation et autres. Bien sur en suivant les conseils des spécialistes de cette essence. A ma décharge je ne connais personne dans ma région qui cultive des azalées

Le chemin qui méne à la paix interieure consiste à terminer les choses que tu as commencées