Konnichiwa:)
J'aurais utilisé un pot transparent (genre pot à orchidées)But: Voir la pousse des racines sans défaire le pot transparent.   Le recouvrir de plastique noir ou bien à l'aide d' un pot plus volumineux.Entre les deux parois des pots : sphaigne.Eviter les variations de température qui ne facilitent pas l'émission des racines....
Explications par MP si nécessaire. Bonne chance!
Bien  amicalement.

Ô great creator of beings! Grant us one more hour to perform our art and perfect our lives!
To see a world in a grain of sand and heaven in a wild flower, hold infinity in the palm of your hand and eternity in an hour!!

Tommy a écrit:

Très bonne idée le pot transparent à orchidée ! je n'y ai pas pensé

Il y a longtemps, cette amie très chère à nos coeurs, Monique Faye, avait suggéré de manger de la faisselle.

J'ai fait quelques marcottes sympas en suivant ses conseils, et avec du miel et de la ciboulette, on joint en plus l'utile à l'agréable.

Mal nommer les choses ajoute à la misère du monde
https://www.facebook.com/alain.krizic.1

En effet, très bon truc l'idée de la faisselle  !!!!

Le bonsaï, un rapport à la nature et au temps, au fil des saisons, et beaucoup de passion..

Laurent_D a écrit:

Super Tommy et très intéressant car le nombre de personnex ayant marcotté du pin blanc chez nous doit se compter sur les doigts de la main.

Merci Laurent ;-)

Je regarderai au printemps et je vous tiendrai au courant ;-)

Prochaine étape : greffe de racines de plants de sylvestres au printemps justement pour le projet radeau !

"C'est au pied du mur qu'on voit le mieux le mur"

Louis-VB a écrit:

Je ne sais pas ce qui est écrit dans le livre mais j'ai vu les Abe marcotter en plein hiver, en février. Il neigeait dehors, donc le flux de sève était minimal. Ils greffaient d'ailleurs à la même époque.
Là, j'ai un peu peur que tu te retrouves avec des la résine un peu partout.

Il évoque deux périodes pour marcotter : février et fin d'été ;-)

"C'est au pied du mur qu'on voit le mieux le mur"

fabizen a écrit:

Tu as la chance d'être conseillé par Louis, une référence en culture et connaissance des pins blancs..
Une essence pas simple au Japon, encore moins chez nous..

Ok merci :-)

Je jetterai un œil en février pour voir ce qu'il en est. ;-)

"C'est au pied du mur qu'on voit le mieux le mur"

florent.01 a écrit:

Bravo pour l'expérience, Tommy. Impatient de voir l'évolution.

Comme pour Fabizen, le pin blanc reste toujours pour moi une espèce délicate à mener en bonsaï dans nos contrées. La bonne gestion de son arrosage semble primordiale. Bjorn Bjorholm le souligne à plusieurs reprises dans ses vidéos : attention à la fréquence des arrosages car le pin blanc est habitué à faire face à l'aridité dans son environnement naturel.

J'affectionne particulièrement les Goyomatsu et j'ai la chance d'en avoir quelques uns. Je confirme que l'arrosage est délicat ! Je me rends compte qu'il préfère une pulvérisation sur le feuillage et très peu d'arrosage dans le substrat.

J'ai soif d'apprendre par l'expérience et aussi grâce aux autres, aux livres dédiés, aux articles dans les revues ...

Affaire à suivre ;-)

"C'est au pied du mur qu'on voit le mieux le mur"