les pins sylvestres sont magnifiques, comme d'hab', avec Vallejo
certains oliviers sont fabuleux, pas tous
beaucoup d'ifs, comme quoi, les yamadoris de jardin, ça marche
peu de feuillus, je trouve cela dommage(j'exclus l'olivier)

le premier juniperus phenicia de la 2ieme page à fait l'objet d'un article dans esprit bonsaï 18, si vous le pouvez, regardez l'article, très intéressant notamment pour le bois mort en arc de cercle du devant!

"Chaque homme commet des erreurs.Le sage les reconnaît et s'en corrige.Le sot ne voit pas les siennes et parle haut.L'homme de peu les dissimule, par crainte des critiques."(Chieng Mu des Song)

En même temps, si on coupe cette branche, alors le tronc est mis en avant. Or, il est très raide sur sa partie basse... En conséquence, même si le choix de cet arbre peut se discuter, il me semble qu'il doit se justifier par cette branche qui donne un mouvement dynamique à un arbre qui reste stable et fort par son tronc.

  De plus, elle découpe un espace vide intéressant sur sa partie basse (je trouve que l'espace vide plus haut, entre la branche et le tronc, est trop symétrique et souligne la redondance entre le mouvement de la branche et celui du tronc). Au contraire, si on l'enlève, il n'y a plus de branche basse et l'espace vide est seulement dessiné par le tronc et la branche de droite supérieur. Il me semble plus monotone et souligne la courbe molle du milieu du tronc.

  Peut-être, en conséquence, faut-il comprendre le prix accordé à cet arbre comme une valorisation de l'idée de cette branche qui donne un mouvement à un arbre d'une belle écorce mais un peu mou.

Un choix que je ne comprends vraiment pas : le pin sylvestre semi cascade de la page 3. Il semble que le mouvement de son tronc est peu agréable (en l'état actuel du feuillage) et que le pot aurait dû être relevé vers la droite.
  Quelqu'un peut-il m'expliquer les choix du bonsailliste?